Pour continuer sur le sujet de la Fête de la Tonte (qui restera dans ma mémoire un évènement marquant !), Marylène vient de mettre son blog à jour, je vous recommande vivement d’aller voir les photos qu’elle a mise, en particulier la photo de la « mariée » ou « homo-moharius » (vous savez, dans les défilés de mode, on termine toujours par la mariée. Nous en avions une dimanche, mais d’un genre un peu particulier…). Richard a également consacré une entrée de son blog à cette journée.
Haukeli a avancé ces derniers jours :
Mais il y a fort à parier que je vais manquer de laine noire ! J’avais pile le compte pour la taille que je tricote (soit 10 pelotes), mais il ne m’en reste plus que 3 et je n’ai même pas fini le corps ! Véronique a déjà à plusieurs reprises mentionné ce phénomène, courant dans les modèles de Dale, mais je n’avais pas encore eu l’occasion d’être confrontée au problème.
Et puis Odile m’a fait envie avec son nouvel en-cours à torsades. Et j’ai justement quelques pelotes, d’un rouge à tomber par-terre, de pure laine qualité « Numéro 5 » de Fonty qui s’enuyaient dans un coin. Elle me faisaient de la peine (oui je sais, je suis beaucoup trop sensible, ça me perdra… :sleep_tb:), alors j’ai commencé l’échantillon pour Rogue. Et devinez-quoi ? Il est conforme au modèle !
Enfin, pour Lucile qui se demande bien ce que contient le sac que Maud m’a donné dimanche :
Une demi-toison brute de mouton, sélectionnée par un tondeur de la région pour sa belle qualité. C’est de la laine brute, donc suintée et avec tout ce qu’un mouton peut avoir sur le dos avant d’être tondu. Dommage que le web ne retranscrive pas encore les odeurs, je vous garantis que ça sent la nature !!:shock_tb:
Je n’ai plus qu’à trier les plus belles parties, et à les filer telles quelles, sans les laver ni les carder. Le suint facilite le filage, et évite d’avoir à carder la laine avant de la filer. Une nouvelle expérience pour moi, je vous en reparlerais en temps voulu !