Quand on a des animaux, on est plus attentif aux passages des saisons, il y a des signes qui ne trompent pas. Ainsi quand Polichinelle, ma lapine, a commencé à s’arracher quelques touffes de poils, c’est qu’elle a estimé le moment venu pour des petits lapins.
1 mois de gestation et 1 semaine plus tard, les lapereaux sont nés, pour ma plus grande joie. Je ne veux pas les toucher pour les compter (à priori entre 6 et 8), je me contente de les observer grandir. Ce sera la surprise du nombre quand ils sortirons du nid, bientôt…
Je suis contente d’avoir ces petits lapereaux, cela faisait 1 année que j’attendais de pouvoir reproduire mes lapins-chèvre, la race est rare, je voudrais vraiment en faire l’élevage. D’autant plus que ce sont des lapins rustiques et vraiment adorables, et que perso, j’aime leurs grandes oreilles et leur beau et doux pelage noir et feu.
Je pensais avoir un couple et j’avais deux femelles ! Il m’a fallu trouver un mâle de cette race, pas facile à moins de traverser la France et encore. Par un concours de circonstance incroyable (à ce stade-là j’en suis encore à me demander si c’était vraiment du hasard), il est arrivé en mai dernier ce petit mâle qui s’appelle « Roudoudou ». Mais âgé de 2 mois donc encore loin d’être en âge de se reproduire. J’ai attendu patiemment… en priant pour ne pas perdre l’un de mes lapins.
Le printemps qui arrive, c’est aussi les crêtes rouges des poules qui recommencent à pondre après une pause hivernale bien méritée.
Madeleine, une adorable poule pékin gris perle, qu’un ami éleveur m’a offert. C’est la plus familière de toutes mes poules, elle n’hésite pas à voler jusque sur mon bras, et à se percher sur mon épaule.
Le printemps c’est aussi les travaux de jardin qui reprennent, les poules sont toujours prêtes pour nous donner un coup de patte 😉