Pour faire suite à l’excellent article publié par Véronique sur les nopes, et au message de Françoise sur son expérience personnelle des nopes, voici mes maigres contributions :
Tout d’abord le spécimen de Nodus Plantae InFernalis que j’héberge actuellement sur mes aiguilles :
Forme ovoïde plutôt (franchement) écrasée qui fait mon désespoir. Je suis sans cesse en train de « lui chatouiller le postérieur » pour la faire ressortir suffisement à mon goût. Mais comme le fait remarquer Françoise, cette Nodus Plantae là est facile à réaliser 😉 …Vue d’ensemble de la deuxième moitié du corps (le dos) :
Autre spéciment de Nodus, le Nodus « Vitis vinifera« , que l’on retrouve sur ce modèle :
L’origine de ce Nodus étant française, on l’appelle plus courament « boule » et il se réalise ainsi : « dans une maille, tricoter 1 m. endroit, 1 jeté, 1 maille endroit, 1 jeté, 1 maille endroit, tourner, tricoter 5 mailles, tourner, tricoter 5 mailles, tourner, tricoter 3 mailles ensembles envers, 2 mailles ensembles envers et rabattre la 1ère maille sur la 2ème ». Ca, pour de la nope c’est de la nope ! Surtout par grappe de 6 😯 …
Autre Nodus Plantae d’origine française :
Mes conclusions, qui sont purement personnelles : les nopes c’est joli, mais c’est pénible à faire.