… forment la jeunesse, il paraît. Bien que je ne sois plus de la toute première jeunesse…
Vierzon, initiation tonte et filage spécial alpagas, le 1er et 2 mai, dans le cadre de l’association « alpaga développement« . J’animais donc la partie initiation filage. Et j’ai trouvé très instructif la partie tonte, et le fait aussi de réunir fileurs et éleveurs. Les fileurs se rendent compte de la difficulté de l’élevage, de ses impératifs. Et les éleveurs sont sensibilisés aux bonnes conditions de récolte de la fibre lors de la tonte.
J’avais déjà assisté à la tonte de mouton, et à la tonte de chèvres angora. C’était la première fois que je voyais la tonte d’alpagas.
Comme ce sont des animaux assez grands et craintifs, pour ne pas qu’ils se fassent mal ou blessent le tondeur, on les entrave. Certains tondeurs laissent les animaux debout, mais apparemment, ils sont davantage stressés.
La tonte dure environ 12 mintures. Le tondeur (ici, une femme) commence par tondre la première moitié de l’animal, en séparant qualité 1 (la meilleure, le dos et les flancs), et 2 (le cou, le haut des pattes). Et soit il laisse la qualité 3 sur l’animal (comme ici, le bas des pattes), soit elle est mise à part pour être feutrée, car elle est trop courte et rêche pour le filage.
Durant ce week-end, j’ai pu approcher des alpagas qui ne sont pas si farouches que cela :
Un alpaga de couleur « bay black » qui se repose au soleil après avoir été tondu.
La récolte des toisons :
Il existe environ 22 couleurs naturelles d’alpaga, allant du noir profond (true black), au blanc pur, en passant par des beiges, brun, gris…
Puis une semaine plus tard, nous partons direction le sud, chez Joëlle et Pascal dans les Cévennes. Ah les Cévennes, je crois que je suis tout doucement en train de m’attacher à cette région qui me rappelle beaucoup mon bord de lac Léman natal…
Pascal a attelé l’un de ses ânes pour labourer son jardin.
Melchior semble avoir fait ça toute sa vie !
J’ai trouvé ça assez génial de pouvoir labourer grâce à un âne. Donc je résume, quand je serais grande j’aurais des alpagas, et des ânes…
Sinon, pour Digitale, qui me demandait ce que mes plants de coton donnaient : ils poussent, mais n’ont pas tellement aimé se faire repiquer car ils stagnent un peu. Photos plus tard, pour l’instant, je suis encore sur le départ…
Avec tout ça, ben pas beaucoup de tricot ni de filage !
toujours des informations intéressantes… et cette photo de l’alpaga en train de se faire tondre, assez impressionnante ! il est accroché à une structure de hamac ?
et bin didonc…il y a en lala de la toison!!! il y a de quoi se regaler lala…;o)
Que d’aventures campagnardes! Pour ma part, je profite des rayons de soleil pour laver, laver, laver et peut-être à un moment carder, carder, carder… je t’embrasse
Tes aventures me font de plus ne plus rêver. Quelle chance de pouvoir approcher et cotoyer tous ces animaux… et toutes ces belles laines. Les toisons d’alpaga sont impressionnantes (la grise à droite, miam…). Prends garde de ne pas être grande trop tard 🙂
Merci de nous faire partager tes voyages. Ça me change de l’ordinaire en ce moment et ça me fait du bien de voir la nature et ces animaux! Bises!
profite bien de tout et bn voyage a vous deux et avec le soleil !
que j’aime les aplagas ! pas seulement leur toison, mais les animaux eux mêmes aussi. Quelle chance tu as eue. Et je vais me mettre en quête d’alpaga true black, j’en rêve
J’attendais avec beaucoup d’impatience les nouvelles de Vierzon et des Cevennes. En juin, à mon tour, j’irai en Ardèche. Les Cévennes qu’est-ce que je les aime aussi depuis que je les connais un petit peu (6 ans). Les ânes, cela fait bien plus longtemps que j’en suis amoureuse, et les alpagas, depuis un élevage en Forêt Noire, ensuite chez Spycher et, last but not least, chez Jeff, j’en rêve.
C’est pour où, si je peux me permettre cette question, le prochain départ?
bisous Lisa
que cela fait envie toutes ces belles toisons d’alpaga
tu me fais rever avec les belles photos de tes voyages
toujours agréable de venir visiter ton blog… avec ces belles aventures…
coucou,
je viens juste de voir ton post, c’est superbe et la photo de mon âne attelé est magnifique. On dirait que Melchior pose devant Richard
Gros bisous
merci pour ce petit reportage bien intéressant !!
de plus les photos sont superbes
Salut Sandrinette!! Merci de ta visite J’ai utilisé une armure tweed, donc 1234, 1234 etc (désolée comme j’apprends en anglais je n’ai pas les termes). Puis l’ordre pour actionner les pédales est 12 23 14 34. Sinon, j’ai ordonné les fils en les classant par couleurs: un groupe de fils blancs, beiges et gris, un groupe de marron, bleu, violet, un groupe de vert et bleu (plusieurs de chaque sorte). Quasiment aucune bande n’est pareille, elles se ressemblent seulement. Les fils d’armure sont des restes de tricot, aiguilles 3 ou 4mm, la trame est un rowan en aig 6mm et il y a 10 fils par inch. Voilà! Je t’embrasse! Espérant chatouiller le métier
I am enjoying your blog, very interesting. I am beginning to learn French, while I may not understand everything, this makes it a pleasure to learn.
Oh que c’est beau, une communion parfaite entre la nature la laine ; que tu donnes envie
Tres bien!
J’ai de la laine de mouton j’aimerais savoir la lavé et la cardé
comment faire? avec peu de chose.Elle me servirait a faire des oreillers :
Merci de me répondre
EDWIGE :