Elles ont traversé les âges sans prendre une ride ces vieilles machines à coudre à pédale, toujours fidèles au poste, à piquer des points droits parfaits, avec leurs décalques élégantes et leur silhouette désuète.
C’est qu’à l’époque où on les fabriquait, la notion d’obsolescence programmée n’existait pas encore, une époque révolue où l’on utilisait la technologie nouvellement acquise pour fabriquer des objets solides et durables, à la fois simples et ingénieux. De vrais outils dans le sens le plus noble du terme, des compagnons d’une vie.
Elles en auraient à m’apprendre si je pouvais savoir ce qu’elles ont vu et cousu. Certaines ont traversé deux guerres, et on dû bien voyager pour arriver jusque dans mon atelier, elles continuerons, je l’espère, après moi… Et elles sont toujours là, fières et vaillantes, fidèles, prêtes à traverser un siècle de plus sans ciller…
Que restera-t-il de nos machines à coudre électroniques dans 50 ans ? De tous nos objets modernes faits de plastique et de riens ?
il va falloir qu’un jour je m’y mettre….de bien belles machines….;)
Quel bel objet!!!
Ha ha ! Génial, j’en ai une de 1920 , c’est sur qu’elle fonctionnera encore après ma mort, enfin si personne ne la jette à la poubelle ! j’ai bon espoir ma fille apprend à coudre sur une Omnia des années 1950… :-))
J’adore ces belles machines….qui ont une âme !
Bonjour,
J’ai une ancienne singer de 1957, elle fait un point droit inégalable et puis j’aime le bruit que font les anciennes machines. Rien de comparable avec les nouvelles en plastique/plastoc….