Cette année j’ai bien crû que je n’aurait pas de poussins, sur tous les œufs mis à couver au printemps un seul a donné un petit coq. Que je garde, en sécurité, pour la pérennité de l’élevage. Si avoir des poules simplement pour les œufs c’est relativement facile, en revanche tenter l’élevage, la continuité, la sélection, c’est beaucoup plus difficile.
J’ai remis des œufs à couver fin juin, sans grande conviction… et des poussins ont éclos ! La relève est, je l’espère, assurée.
oh de magnifiques poulettes didonc..oui sportives…et chouettes pour les poussins…ils sont adorables…;)
Tes poules ont l’air en pleine forme. Tu as beaucoup de sortes, dans ton élevage.
Coucou Dominique,
En fait j’ai des Pékins qui est une race naine, et essentiellement des Meusiennes, une grande race, dont 1 qui a des barbiches et qu’on appelle Faverolles. Mais génétiquement, Meusienne et Faverolles sont si proches que je ne les considère pas comme deux races à part. Ce qui me fait 2 races, avec l’avantage que les gros coqs ne fécondent pas les petites poules et vice-versa, donc pas de croisements.
Les petites Pékins sont très bonnes couveuses et mères, les Meusiennes ne couvent pour ainsi dire pas.
Magnifiques photos! Coco n’a pas l’air de badiner (j’ai une grande peur des coqs pour en avoir connu un pas facile chez des amis tous les étés)! Et j’ai appris quelque chose, je ne savais pas que le ventre des poules était déplumé (une très jolie photo d’ailleurs).
Coucou Marie, c’est vrai que Coco est très impressionnant d’autant que c’est un gros coq, mais avec moi c’est une crème. Seules les poules qui couvent ont le ventre déplumé, on appelle cela les « plaques incubatrices », j’ai d’ailleurs ajouté la légende sur la photo. Cet automne quand elle fera sa mue, elle sera emplumée sous le ventre… jusqu’au printemps prochain quand elle se remettra à couver.